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200 MW Production
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34 Éoliennes

Les Innus, en partenariat avec Boralex, développent un projet éolien de 200 MW sur le territoire traditionnel (Nitassinan) de la Première Nation de Uashat mak Mani-utenam sur des terres publiques dans la municipalité de Port-Cartier et sur le territoire non organisé Lac-Walker, dans la MRC de Sept-Rivières en Côte-Nord, au Québec.
Réalisé dans le respect des valeurs innues relatives à la préservation de la faune et de la flore ainsi qu’au maintien des pratiques traditionnelles (innuaitun), ce projet viendra compléter le bloc de 200 MW restant de la stratégie énergétique 2006-2015 du gouvernement du Québec. Apuiat sera le premier parc éolien en Côte-Nord et permettra de doter la région d’une source à long terme d’énergie renouvelable, en plus d’engendrer des retombées économiques pour les communautés autochtones et non-autochtones nord-côtières.
Apuiat représente, en innu aimun, une rame, symbole d’avancer ensemble dans la même direction. C’est un outil millénaire que les Innus ont utilisé pour parcourir et occuper leurs territoires et qui reflète leur identité de nomades.
Les partenaires du projet
- Les Innus : 50 % des parts
- Boralex : 50 % des parts
Gouvernance et Partenaires
En décembre 2015, le gouvernement du Québec a annoncé la mise en place d’un partenariat avec la Nation innue afin de compléter le bloc de 200 MW restant de sa stratégie énergétique 2006-2015.
Après avoir procédé à un appel d’offres pour s’associer avec un développeur privé, les Innus ont choisi Boralex comme partenaire pour les soutenir dans l’ensemble des phases de conception du projet.
Parc éolien Apuiat S.E.C. est un partenariat entre Boralex et la Société en commandite Apuiat (SEC Apuiat), qui regroupe les communautés innues au Québec. Du côté des Innus, chaque communauté participante a nommé un administrateur pour la représenter dans le SEC Apuiat. Ces administrateurs ont, à leur tour, nommé entre eux 3 personnes pour siéger sur le conseil d’administration de la société de projet.
Les Innus et Boralex détiennent respectivement 50 % des voix sur le conseil d’administration de la société de projet.
